Portraits d’ancêtres

Histoire du portrait d’ancêtre

Dans la culture chinoise il y a toujours eu une connexion importante avec les ancêtres. Les chinois croient que les morts restent en contact avec les vivants et qui si ils sont suffisamment respectés, honorés dans les rituels familiaux, les esprits peuvent amener santé, réussite et bonne fortune.
Depuis la Chine antique, il est donc de tradition et de devoir familial de rendre hommage aux ancêtres, de leur offrir nourriture et offrandes. C’est une coutume que l’on retrouve dans toute l’Asie du sud-est, notamment en Thaïlande où, afin de préserver sa demeure, on fait des offrandes aux maisons des ancêtres. (Si vous ne connaissez pas encore les maison des esprits, vous pouvez en apprendre plus en cliquant ici ! ) La plupart de ces portraits provient de dynastie Qing (1644-1920) qui fut une période fleurissante pour l’art en Asie du sud-est et en Chine tout particulièrement.

Est représenté ici un ancêtre en robe bleu. Le bleu, symbole de l’immortalité en Chine,
sert aussi à représenter l’humilité et l’importance sociale lorsque il est porté.

Importance des portraits d’ancêtres

Des portraits commémoratifs étaient spécialement imprimés dans ce but honorifique. La présence des vivants était supposé résider dans leur portraits après la mort.
Les artistes-peintres qui effectuaient ces portraits étaient autorisés à visite la dépouille du défunt après sa mort, afin de reproduire le plus fidèlement possible tous les détails.
La partie la plus importante du portrait est le visage. Tout les portraits ont en commun une expression figée, presque sombre. La représentation du visage se devait également d’être parfaite car si le moindre détail était ignoré les prières de la famille risquaient de partir vers la mauvaise personne. Des costumes très stylisées étaient parsemés de symboles et de références au statuts sociale de l’ancêtre.
L’ancêtre est représenté dans ses proportions naturelles, toujours assis droit sur une chaise. La plus grande différence dans ces portraits est en fonction du genre; les pieds des femmes, considérés comme la partie le plus érotique de leur corps, sont le plus souvent laissés hors du cadre ou cachés par les vêtements.

Portrait d’une ancêtre de notable, dont les pieds sont astucieusement cachés par la robe !

Les couleurs portées par l’ancêtre indiquent beaucoup sur son statut social ainsi que sa personnalité. L’exemple le plus flagrant est celui des empereurs qui sont toujours drapés de jaune et qui portent des badges a l’image d’animaux du zodiac chinois, indiquant ainsi leur rang.

Malheureusement, suite a l’invention de la photographie l’art du portraits d’ancêtre a rapidement périclité et il est difficile de nos jours de pouvoir admirer ces œuvres !

Portrait d’ancêtre d’un dignitaire de l’armée impériale chinoise. La présence d’une oie sur sa robe signifie qui s’agissait d’un officier de quatrième rang.

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The History of Ancestor Portraits

The Chinese have long had a profound connection to their ancestors. They believe and they have always believed that death does not sever a person’s relationship with living and that, if properly worshiped and honored in private family rituals, the spirits can bring them health, goods, long life…
Since Imperial China, it has stayed as a part of tradition and family duty to pay hommage to their ancestors, to offer them food.  Same thing is performed in South-Eastern Asia, especially in Thailand, where thai, in order to keep their home safe bring food into the spirit houses. (If you are not familiar with this, please read our story about it while clicking here ! )
Most of these portraits come from era of Qing dynasty (1644-1920) that has been a flourishing period for South-Eastern Asian art, particularly Chinese.

 

Presented here an ancestor in a blue gown. Blue symbolize immortality in China, but is also representing humbleness and social status.

Significance of Portraits

Chinese commemorative portraits were painted specifically for use in worship. The power of the living was believed to reside in their portraits after death. The Artist had rights to visit the corpses before they got buried, in order to get more details. The most important part of portrait is the face. All ancestors were painted carrying same face and expression, a bit gloomy. Everything had to be perfect, If I dare to say even copy-pasted, and even if one, even the smallest detail was off, prayers wouldn’t count or they’d go to a different person. Costumes and gowns were showing the social status of ancestor.

They are represented in their natural proportions, always sitted on a chair. the biggest difference was when it comes to genre of ancestor, for an example, the feet of a woman, considered as the most erotic part of female body, remained hidden or out of the objective.

Portrait of female ancestor, with hidden feet !

As I already mentioned, colors of the dresses represented social status but as well his personality. Those  who had yellow dresses were often emperors and they had badges with chinese zodiac animal on it.

Unfortunately, with the innovation of photography, this kind of art stopped being popular and its very rare these days to find these portraits and admire them !

Portrait of the officer of Chinese army. The goose on his dress says that he has been an officer of the fourth rank

 

Porcelaine Chinoise Ancienne

« Il n’est pas possible d’être trop riche, trop mince ou d’avoir trop de bleu et blanc »

Les origines des pots à gingembre : la dynastie Qing ?

Une des nombreuses choses que l’occident a toujours envié à la Chine, ce sont ses poteries. Bien qu’il y ait des avis divergents concernant l’origine de la porcelaine, des restes de céramiques ont été retrouvés dans le Sud de la Chine qui dataient de 17,000 à 18,000 ans, ce qui en fait certain des plus vieux vestiges jamais retrouvés sur Terre.

La dynastie Ming (14ème siècle) fut la première à amener de grandes innovcations scientifiques et artistiques dans la création des jarres, et cet art de la manufacture survécut jusqu’à la dynastie Qing (17ème siècle).

La dynastie Qing fut l’une des dynasties qui connut le plus de succès; son règne vu naître de nombreux progrès dans les domaines de l’art, de la littérature et de l’impression. L’art des fameuses porcelaine bleues et blanches atteint son apogée technique sous cette dynastie, et la production d’ouvrages imprimés s’accrue de manière exponentielle.

 

De l’usage des pots à gingembre

À l’origine, les pots à gingembre étaient utilisés pour stocker les épices ou pour être offerts aux empereurs Chinois. Mais avec l’avancée de l’art décoratif et de son importance dans la culture occidentale, les pots devinrent une mode dans les demeures des riches familles européennes, jusqu’à devenir de véritables objets de design d’intérieur au 19ème siècle.

Les occidentaux se mirent donc à importer de plus en plus de ces pots, remplis le plus souvent de gingembre pous ne pas leur faire faire un voyage à vide, ce qui leur donna leur nom.

La porcelaine de Qing est issue d’un haut degré de maitriste technique et ne porte aucune trace de la main du potier. Les innovations de la porcelaine en Europe durant cette période amenèrent à la naissance de la famille verte et de la famille rose, qui tirent leurs noms des couleurs dominantes utilisées.

Du vrai ou du toc ?

La plupart des pots à gingembre qui sont marqués du saut de Kangxi furent produits durant le 19ème siècle; non pas dans l’optique d’être vendus comme des contrefaçons, mais pour honorer le règne de l’Empererur Kangxi.

Pour déterminer l’authenticité des jarres plus anciennes, l’observateur doit connaitre les marques qui lui assureront que la porcelaine fut bien produite sous la dynastie des Qing. La composition de la céramique et les détails stylistiques sont les indices les plus flagrants de l’authenticité de la jarre.

Pour le néophyte, une des manière la plus simple de s’assurer de l’authenticité de la pièce est son poids. Les pots les plus anciens (avant le 19ème) sont souvent extrêmement lourds. Bien que les experts ne soient pas d’accord sur le pourquoi de ce poid très élevé – certains ont suggérés qu’il s’agissait d’une manière de balancer le poid durant le transport par bateau – il s’agit souvent d’une bonne indication de l’âge de la pièce.

L’art de la laque en Asie du sud-ouest !

Le travail de la laque a vraisemblablement été introduit en Birmanie par des moines chinois bouddhistes, partis évangeliser le Tibet aux alentours de 1050. Certains d’entre eux, s’étant égarés, seraient parvenus jusqu’en Birmanie, où ils auraient appris aux populations locales l’art de la laque.

L’intérêt de la laque était principalement utilitaire, puisque cette dernière servait à consolider, étanchéifier et préserver le bambou tressé, la vanerie et le bois. Par la suite, le travail de la laque devint un véritable savoir-faire, et les laques décorées achevèrent de faire de cette technique un ajout esthétique également. L’art (car c’en est un maintenant) atteint son apogée aux XVIIIe et XIXe siècles, les Birmans le considérant maintenant comme un artisanat majeur et très décoratif.

De nombreux « chefs d’oeuvre » de la laque nous sont parvenus de cette époque, aux travers des travaux des plus grands maîtres qui résidaient pour la plupart à Bagan, qui reste aujourd’hui le chef-lieu de la laque birmane.
La réalisation d’une laque de qualité pouver nécessiter jusqu’à 8 mois de travail, cet art ancestral nécessitant tant un savoir faire exceptionnel qu’une patience infinie et beaucoup de sens artistique.

Boîtes laquées birmane
Bois de bambou tressé et laqué

 La laque est issue de la sève d’un arbre, le « thitsi », qui pousse dans les forêts de l’Est de la Birmanie. L’artisan pratique une incision dans l’écorce de l’arbre, à laquelle il vient accrocher un bol ou un récipient muni d’un courvecle. En effet, au contat de l’air, la laque se durcit et noircit; l’artisan doit donc éviter au maximum de la laisser à l’air libre, tant qu’il n’a pas fini son travail. Ceci explique également pourquoi la couleur naturelle de la laque est le noir.

D’autres couleurs peuvent être obtenues par ajout de pigments : le rouge est obtenu en ajoutant du cinabre (sulfure de mercure), le jaune à partir d’orpiment (arsenic trisulphide), le bleu par l’indigo, et le vert en mélangeant des pigments jaune et bleu.

Conserver et célébrer

De nombreux objets en bois ou en vannerie étaient donc renforcés par l’usage de la laque. Il pouvait s’agir tant d’objets du quotidien, que d’objets cérémoniel et à usage religieux.

La boîte en laque pouvait en effet servir à conserver des textes sacrés, des offrandes pour les moines, les divinités ou pour les nats. Les pièces les plus belles et travaillées étaient offertes aux monarques, qui y conservaient bijoux, ornements et pierres précieuses.

Boîtes à bétel birmane
Bois de bambou tressé et laqué

Mais en Birmanie comme ailleurs, la laque n’est pas uniquement réservée aux plus riche.

En Thaïlande et en Birmanie, pour le commun des mortels, la boite laquée n’était pas tant un objet d’ornement qu’une manière sûre de conserver aliments et denrées périssables. Ces boîtes servaient pour la nourriture, pour le bétel (mélange de noix d’arec, feuilles de bétel et de chaux, que l’on mastique toujours aujourd’hui), les épices ou le nécessaire de toilette. La laque était également utilisée pour patiner les plats et les assiettes et les rendre plus durables et facile à laver.

De nos jours, les habitants de Birmanie et Thaïlande utilisent toujours ces boites pour conserver, embellir leurs demeures et donner vie à leur intérieur.
 Plat à Riz 23x⌀60cm
Bambou et laque
Thaïlande, fin du XIXème

L’art de l’offrande

L’utilisation des boites laquées est aussi associée au transport et à la présentation des offrandes faites dans la vie quotidienne.

Les boîtes destinées à les acceuillir sont donc confectionnées pour pouvoir être facilement transportées sur les lieux de pélerinage. Toutefois, elle se doivent également d’être richement décorées, puisque l’offrande est faite aux ancêtres, aux dignitaires séculaires et religieux, et aux divinités.

Lorsqu’un événement important et bienheureux survient dans la vie quotidienne, le chanceux a pour habitude de faire une offrande au temple le plus proche. Il peut s’agir d’une offrande de nourriture, d’argent ou de tabac, si l’événement est quelque chose d’usuel comme un déménagement ou la visite d’un ami de longue date. Les événements rares et précieux, demandent évidemment une offrande plus précieuse – une somme importante d’agent, un bijou ou un met fin et exotique.

Grand Bol à Offrande
80x⌀42cm
« Oak » en Bambou tressé recouverte de laque, feuille d’or et pierres en verre
Birmanie

Grand Bol à Offrande
73x⌀37cm
« Oak » en Bambou tressé recouverte de laque, feuille d’or et pierres en verre

Birmanie

 

 

Monsieur, Madame,

Nous espérons que 2018 a été une année pleine de succès pour vous, autant qu’elle l’a été pour nous. Merci à vous d’avoir pris le temps de venir nous rencontrer, nous lire et nous soutenir, par le passé comme dans le futur. Nous vous souhaitons une année 2019 encore meilleure que la précédente, et nous souhaitons succès, santé et prospérité pour vous ainsi que vos proches.

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Au nouveaux commencements !

Joelle et Dominique Sibade
Asiart Gallery et Galerie Orient Extrême

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Truly yours,

Joelle and Dominique Sibade
Asiart Gallery and Galerie Orient Extrême

Les Nats de Mandalay

Mais au fait, c’est quoi un « Nat » ?

Depuis des temps anciens, les nats, ou esprits, sont vénérés en Birmanie, en parallèle de la religion bouddhiste. D’après d’anciennes chroniques, lorsqu’Anawratha, premier grand roi de Bagan, se convertit au bouddhisme,il n’ose pas se débarasser des Nats. Il en conserve donc 36, fait une liste officielle, et demande à un 37e nat de les maîtriser et de les garder sous la domination du bouddhisme. Certains de ces nats sont issues des personnages historiques, d’autres proviennent des légendes; tous possédaient des pouvoirs si important que le roi se senti menacé.Il décida donc de les faire tuer mais, pour éviter que leur âme errante ne vienne troubler les vivants, ou réclamer vengeance, il leur offrit à chacun un domaine et demanda à la population de leur rendre culte et hommage. De nos jours encore, nombreuses sont les maisons qui abritent un nat sin ou nat ein, le nom donné aux autels qui accueil les nats. Chaque village se place également sous la protection d’un nat. Accrochée au pilier central des maisons, on peut trouver une noix de coco (nat oun), habillée d’un gaungbaung (sorte de couvre-chef traditionnel) et entourée d’encens. Il s’agit d’une offrande au nat Min Mahagiri (Seigneur de la Grande Montagne), qui est le protecteur des foyers.

Exceptionnels Nats de la province de Mandalay, datant de la fin du 18ème siècle, en bois de teck, mesurant chacune 2,20m.

Les Nats, esprits d’anciens humaines, ont hérité de leurs vices : l’un d’entre eux, U Min Kyaw, est un peu trop porté sur la boisson; un autre est fumeur d’opium. C’est pourquoi on peut trouver dans les pagodes de nombreux vendeurs ambulants proposant d’acheter des cigarettes. Cela n’est pas pour la consommation du badaud, mais pour celle du nat concerné. Par leur présence, les figures des Nats donnent aux sites bouddhistes theravadin une véritable vie, une humanité qui leur manquent habituellement. Les festivals qui sont organisés pour les Nats, offrent aux Birmans l’occasion rare, de rompre pour le temps d’une nuit, avec l’austérité et l’individualisme de leur religion.

Pendant les fêtes qui leurs sont consacrées (la plus importante se trouve sur le m Mont Popa près de Bagan), les Nats sont  le plus souvent incarnées par des travestis et c’est pourquoi il s’agit d’un lieu de rencontre pour de nombreux homosexuels.

Les Nats sont très populaires en Thailande et il est courant d’en trouver autours des temples et des maisons. Mais si vous souhaitez en apercevoir en France, votre meilleure chance reste de nous visiter !

Maison des Esprits

Tout les pays possèdent leurs propres légendes et c’est bien évidemment le cas de la Thaïlande également. Pour les Thaïs, il est normal de croire dans les esprits de l’au-delà. Sur notre dernier stand, nous avons présenté une de ces légendes dénommée « maison des Esprits », ou comme les Thaïs les nomment « Saan Phra Puum ». Si vous avez déjà visité la Thaïlande, vous les avez sûrement déjà remarquées. Si ce n’est pas le cas, alors qu’attendez vous ?

Les maisons des Phi (Phi est le mot thaï pour esprit) sont à la fois bonnes et mauvaises. Elles peuvent rendre votre vie triste et misérable, ou heureuse et riche. Certains pensent qu’elles abritent les dieux et déesses qui ont à charge de protéger la maison de ceux qui les ont construites. D’autres pensent qu’elles sont un endroit de repos pour l’âme des défunts, qu’ils soient bons ou mauvais.

Ces maisons jouent un rôle central dans les croyances thaïs, et il est interdit de les détruire ou de les déplacer, même quand elles deviennent vieilles ou quand les bâtiments environnant disparaissent. C’est pourquoi on les retrouve souvent dans des endroits isolés, derniers vestiges de ce qui fut autrefois une ferme, un hameau ou un temple solitaire.


Demandez à n’importe quel Thaï quelles sont les trois plus importantes règles à suivre en Thaïlande et il vous répondra ainsi: Ne pas rentrer dans une maison avec ses chaussures, ne pas lever la voix sur sa mère et ne pas oublier de nourrir les esprits qui habitent dans la maison des Phi. C’est pour cette raison que les maisons des esprits doivent être installées en suivant une cérémonie précise, et doivent être situées suffisamment haut pour montrer le respect mais suffisamment bas pour faire ses offrandes quotidiennes.

Chaque jour, il faut offrir avant onze heures un petit peu de nourriture (du riz si on est pauvre, mais les esprits ont le palais raffiné et préfèrent la noix de coco) des fleurs et des boissons rouges.

A l’origine, c’était du sang qui était offert, provenant le plus souvent d’un sacrifice animal. En effet, le sang joue un rôle majeur dans la culture thaï puisque il représente la vie, la chance et la fertilité. Il est le vecteur de la naissance et de la mort.

De nos jours, les sacrifices d’animaux sont toutefois mal vus et l’utilisation du sang est illégale. C’est pourquoi les esprits thaïs font la fine bouche et à la place du sang se voient offrir du FANTA À LA FRAISE. Oui, vous avez bien entendus, du Fanta rouge. Toutefois, si un jour vous êtes assoiffé en Thaïlande, je vous déconseille de voler leur boisson sucrée préférée. Ce serait tenter la chance.